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Cariatides,atlantes, sculptures en façade à Paris
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15 février 2013

34 rue Cambon

34_rue_Cambon_01

 

En 1719 , fut ouverte une rue Neuve de Luxembourg, qui fut ensuite prolongée , en 1810, au travers du Couvent de l'Assomption, jusqu'à la rue de Rivoli. Elle portait alors le nom de Luxembourg. En 1879, elle fut baptisée du nom de l'ancien conventionnel Cambon (1754 - 1820), créateur du Grand Livre de la Dette Publique. Le conventionnel Philippe Le Bas habita cette rue avec sa jeune femme Elisabeth Duplay et l'écrivain Eugène Sue y naquit en 1804. L'ancien couvent des Dames de l'Assomption se trouvait à l'emplacement des numéros 5 à 11 (et 44 rue du Mont Thabor).

Au numéro 15, emplacement de la maison du conventionnel Cambon, mort en exil en Belgique à l'âge de 66 ans

Au numéro 22 , emplacement d'une maison habitée par Hubert Robert qui mourut dans son atelier à l'âge de 75 ans

Au numéro 23, emplacement d'une maison habitée par les conventionnels Granet et Romme qui fit adopter le télégraphe aérien et le calendrier réublicain . Il se tua d'un coup de poignard en 1895 afin d'éviter l'échafaud

Au numéro 24, emplacement du domicile occupé par Claud Bernard (1813 - 1878), en 1865.

Au numéro 26, emplacement d'une maison où logea Pauline de Beaumont, l'amie de Chateaubriand. Stendhal y logea de 1810 à 1814, ainsi que la comédienne mademoiselle Mars

Au numéro 40, logea le peintre Charles Cazin (1841 - 1901)

Au  numéro 47 - 49 emplacement de l'hôtel Villequier d'Aumont où logea Julie Carreau, nancienne danseuse de l'Opéra et ex-épouse de Talma, elle y mourut quasi - ruinée en 1805 à l'âge de 49 ans.

Biographie

 

Claude Bernard nait en 1813 dans le petit village de Saint-Julien en Beaujolais où son père est vigneron. Le curé du village, puis les prêtres du collège Notre-Dame de Mongré de Villefranche-sur-Saône apprennent au jeune Claude Bernard des rudiments de latin et des humanités classiques dont l’étude s’achève au collège de Thoissey.

Il échoue au baccalauréat. À 19 ans, il arrive à Lyon et se place comme préparateur chez un pharmacien. Après des études en pharmacie, il tente une carrière de dramaturge, il compose des vaudevilles, mais se réoriente vers des études de médecine dont il est diplômé en 1843 mais où il échoue à l’agrégation l’année suivante. Il achète un remplaçant pour faire le service militaire à sa place. Pendant ses études, il rencontre Pierre Rayer (dermatologue), Emile Littré et Casimir Davaine (à la base des premiers travaux de microbiologie). Il devient professeur au Collège de France, à la Sorbonne et enfin au Muséum national d'histoire naturelle. Son grand ami Balzac admirait ses travaux et les suivait avec attention1. Il se considérait comme agnostique2. Il a consacré sa carrière à la physiologie. Ses travaux vont être récompensés à l'Académie des sciences en 1854, l'académie de médecine en 1861 et il est élu à l'académie française en 1868. À sa mort en 1878, il eut droit aux obsèques nationales.

 

Il confie la garde de son laboratoire au Collège de France à Auguste Tripier, puis plus tard à Paul Bert. Auguste Tripier devient son préparateur dès 1854 et ilspublieront ensemble le résultat de leurs travaux.

Pauline de Beaumont
Portrait de Pauline de Beaumont par Élisabeth Vigée-Lebrun

Pauline de Montmorin de Saint-Hérem, comtesse de Beaumont, née en 1768 à Mussy sur Seine et morte en 1803, est une femme du monde et femme de lettres du début du XIXe siècle. Elle est surtout connue pour avoir été la maîtresse de François-René de Chateaubriand et pour avoir tenu un salon littéraire où les plus brillants intellectuels de Paris se retrouvaient pendant le Consulat.

 

Biographie

Pauline de Beaumont est la fille du comte de Montmorin, l'un des derniers conseillers de Louis XVI. Toute sa famille périt sur l'échafaud pendant la Révolution française. Elle-même est recueillie par des paysans, puis par l'intellectuel Joseph Joubert, qui la protège d'une affection amoureuse qui durera toute sa vie. C'est chez lui, dans sa maison de Villeneuve-sur-Yonne, qu'elle rencontre Chateaubriand pour la première fois.

Lors de cette rencontre, elle est séparée de son mari, le comte de Beaumont. Elle se sait atteinte de la tuberculose et cherche donc à jouir de la vie. Sa faiblesse physique jointe à sa beauté en fait pour l'écrivain, qui l'appelle « l'Hirondelle », l'incarnation de l'amour romantique :

« Son visage était amaigri et pâle. Ses yeux coupés en amande auraient peut-être jeté trop d’éclat si une suavité extraordinaire n’eût éteint à demi ses regards en les faisant briller languissamment, comme un rayon de lumière s’adoucit en traversant le cristal de l’eau. Son caractère avait une sorte de raideur et d’impatience qui tenait à la force de ses sentiments et au mal intérieur qui l’éprouvait.1 ». Il

Elle-même a une grande admiration pour les talents littéraires de son amant :

« il y a là, une sorte de miracle ; le secret de l’enchanteur est de s’enchanter lui-même ; il vous fait fondre en larmes et pleure lui-même. »

Elle rassemble dans sa maison, près du Palais du Luxembourg, les espoirs littéraires et politiques de son temps : outre Chateaubriand et Joubert, on y retrouve Louis de Fontanes, le comte Mathieu Molé, mais aussi de jeunes gens moins connus comme Ambroise Rendu et Philibert Guéneau de Mussy, futurs hauts fonctionnaires de l'Instruction publique et pour l'heure rédacteurs au Mercure de France.

Pauline de Beaumont vit en pleine contradiction sa liaison avec Chateaubriand : lui qui rédige le Génie du christianisme est alors le héraut de la renaissance catholique. Elle, éduquée dans les principes moraux de Pierre Nicole, a une spiritualité forte. Néanmoins, les mœurs de l'époque étant assez libres, leur liaison peut se faire au grand jour.

Les deux amants se retirent un temps à Savigny-sur-Orge, où Chateaubriand travaille au Génie tandis que Pauline recopie la documentation qui lui est nécessaire. Elle se lie d'amitié avec la sœur préférée de Chateaubriand, Lucile. Mais Chateaubriand a réussi à obtenir le poste de 1er Secrétaire d'Ambassade à Rome en 1803, sous l'autorité du cardinal Fesch, oncle de Napoléon, ambassadeur. Il part donc, laissant Pauline de Beaumont derrière lui. Elle est effondrée, d'autant plus qu'elle est de plus en plus malade et qu'elle se rend compte que son amant l'a délaissée pour Delphine de Custine. Elle part faire une cure au Mont-Dore, puis décide de rejoindre son amant pour mourir auprès de lui.

Pauline de Beaumont arrive en Italie et Chateaubriand, touché par le geste et l'état déplorable de sa santé, se montre plein de délicatesse. Il va la chercher à Florence et loue pour elle à Rome une petite maison au pied de l'église de la Trinité-des-Monts. Son malheur touche la société romaine au lieu de la choquer. Chateaubriand accepte sans gêne de jouer le rôle du garde-malade, quitte à travestir la réalité2.

Elle meurt de phtisie le 4 novembre 1803 dans les bras de son amant. Chateaubriand évoque ses derniers instants.

« Nous la soutenions dans nos bras, moi, le médecin et la garde ; une de mes mains se trouvait appuyée sur son cœur qui touchait à ses légers ossements ; il palpitait avec rapidité comme une montre qui dévide sa chaîne brisée ; nous inclinâmes sur son oreiller la femme arrivée au repos ; elle pencha la tête, quelques boucles de ses cheveux déroulés tombaient sur son front ses yeux étaient fermés, la nuit éternelle était descendue. (...). Tout était fini. 3»

La cérémonie funèbre a lieu à l'église Saint-Louis des Français, en présence de toute la société française de Rome. La princesse Borghese (Pauline Bonaparte, sœur du premier consul), offre sa voiture pour le cortège. Chateaubriand fait édifier un monument par le sculpteur Marin dans l'église. Pauline de Beaumont y est représentée couchée sur son lit. L'épitaphe porte ces mots :

« Après avoir vu périr toute sa famille, son père, sa mère, ses deux frères et sa sœur, Pauline de Montmorin consumée d’une maladie de langueur, était venue mourir sur cette terre étrangère. François Auguste de Chateaubriand a élevé ce monument à sa mémoire. »

En 1863, il emménage au 14 rue Saint-Honoré et meurt le 10 février 1878.

 

Hubert Robert

 

   
   
   
   
 Hubert Robert, (22 mai 1733, Paris - 15 avril 1808, Paris) est un des principaux artistes français du XVIIIe siècle qui s’illustra notamment comme paysagiste, aquafortiste, dessinateur et à travers la peinture.
 

Le père de Hubert Robert, Nicol Robert, était au service de François Joseph de Choiseul, marquis de Stainville. Cette relation servit la carrière de Hubert Robert. Il fit, entre 1745 et 1751, des études classiques chez les jésuites au Collège de Navarre avec succès. Cependant on le voyait sans cesse, un crayon à la main, reproduire tous les objets qui le frappaient. L’un de ses professeurs, l’abbé Batteux, avait conservé un de ses dessins qui annonçait déjà les plus heureuses dispositions. Lorsque ses parents, qui le destinaient à l’état ecclésiastique, lui permirent enfin de suivre sa vocation pour la peinture, il étudia chez Michel-Ange Slodtz, qui lui enseigna la perspective et le dessin et le décida à se tourner vers la peinture. En 1754, il partit pour Rome, avec Étienne François de Choiseul (fils de l’employeur de son père), récemment nommé ambassadeur de France à Rome.

 Hubert Robert passa onze ans à Rome, une période remarquablement longue pour un jeune homme sans poste officiel à l’Académie de France à Rome. Il rencontra les collectionneurs et les artistes (entre autres, Piranèse, qui eut une grande influence sur lui), et reproduisit les plus riches aspects et les plus précieux monuments de ce pays. Bien que n’ayant pas obtenu le Grand prix de peinture, il fut autorisé à se joindre aux pensionnaires du palais Mancini. Il y rencontra le jeune Jean Honoré Fragonard, et l’abbé de Saint-Non, un amateur distingué qui leur commanda, ainsi qu'au peintre et dessinateur Claude-Louis Châtelet, des dessins de villes italiennes, d’antiquités et d’œuvres d’art en vue de les publier. L’abbé de Saint-Non emmena Hubert Robert à Naples en avril 1760 pour visiter les fouilles de Pompéi, ce qui alimenta ses capricci (paysages imaginaires).

 À son retour à Paris, en 1765, il rencontra un succès rapide parmi les hautes personnalités du royaume ainsi que l’élite artistique et intellectuelle. L’année suivante, il était agréé et reçu par l’Académie Royale, sur la présentation d’un tableau de ruines qui réunit tous les suffrages.

 Ses talents lui procurèrent différentes places : nommé successivement dessinateur des Jardins du Roi, garde des tableaux du Roi, garde du Museum et conseiller à l’Académie, il fut chargé d’aménager certaines parties des résidences royales, telle que le hameau de la Reine à Trianon. Ce dernier s'inspire du hameau du parc d'Ermenonville, premier jardin anglais d'envergure sur le continent, à la conception duquel Robert participa en tant que conseiller artistique du marquis René de Girardin. Le parc de Méréville du marquis Jean-Joseph de Laborde est généralement considéré comme le parc où l'influence de Hubert Robert fut la plus importante.

 Pendant la Révolution, il est arrêté en octobre 1793. Détenu à la prison Sainte-Pélagie et à la prison Saint-Lazare, il y a survécu en peignant sur des assiettes des scènes de vie carcérale. Ce fut lui qui dessina le portrait de Jean-Antoine Roucher que cet infortuné poète envoya la veille de sa mort à sa femme et à sa fille. La Révolution a également entraîné la destruction de certains des travaux de Robert. Robert a conçu les décors d'un théâtre d’environ 500 places dans l’Aile neuve, à l'emplacement de l'escalier Gabriel actuelle dans le Château de Versailles. Ce théâtre était destiné à servir de théâtre ordinaire de la cour, en remplacement du théâtre de la Cour des Princes, trop vétuste et trop petit. Le théâtre était construit à partir de l’été 1785 et inauguré début 1786. Il était détruit sous Louis-Philippe. Une aquarelle de la conception de Robert est dans les Archives Nationales à Paris

 

Vue imaginaire de la galerie du Louvre en ruine - Musée du Louvre

 Libéré, après dix mois de détention, à la chute de Robespierre, il retrouva ensuite une certaine notoriété et se vit chargé de la mise en place du nouveau Museum national dont il fut nommé, en 1800, conservateur. Il projeta la réunion des galeries du Louvre aux Tuileries, et reproduisit cette idée dans un tableau. Son imagination se transportant à des siècles plus reculés, il présenta dans un autre tableau les ruines de ce monument, où, au milieu des débris d’édifices et d’arcs renversés, l’Apollon du Belvédère, depuis rendu au musée du Vatican, était conservé tout entier, comme si le peintre avait voulu indiquer par-là que le temps n’avait pas d’empire sur ce chef-d’œuvre des arts.

D’un caractère doux et modeste, Hubert Robert connut une vie heureuse et paisible qu’il termina à l’âge de 73 ans, d’une apoplexie.Durant les années passées en Italie, il a accumulé dessins et croquis de paysages en ruines, d’où son surnom de « Robert des ruines ». Ses peintures montrent des interprétations poétiques de paysages, des vues de Rome, de Paris, et d’Île-de-France. Il a peint également des fantaisies, par exemple la grande galerie du Louvre en ruines. Il fit aussi des croquis d’après nature (et des tableaux en atelier) de l’incendie de l’Hôtel Dieu (en 1772), et de la démolition du pont Notre-Dame. Il exposait régulièrement aux Salons du Louvre, et aimait travailler pour les collectionneurs et les aristocrates.

 Le musée de Valence, le musée du Louvre et l’Ermitage à Saint-Pétersbourg conservent une importante collection de dessins et de peintures d’Hubert

Charles-Gilbert Romme

Charles-Gilbert Romme, né le 26 mars 1750 à Riom et mort le 17 juin 1795 à Paris, est un homme politique et révolutionnaire français.

Sommaire

Biographie

De Riom à Paris, via Saint-Pétersbourg
Maison natale de Charles-Gilbert Romme, à Riom.

D'une famille bourgeoise de Riom, il fait ses études en même temps que son frère, le futur mathématicien Charles Romme, au collège des Oratoriens de Riom puis, pendant cinq ans, à Paris. De 1779 à 1790, il devient le précepteur de Paul Stroganov, fils du comte russe Alexandre Sergueïevitch Stroganov, à Saint-Pétersbourg, puis le mène à Genève et enfin à Paris, accompagné du jeune André Voronikhine. En janvier 1790, il crée à Paris le club des Amis de la loi, ce qui le rend populaire et lui permet d’être élu le 10 septembre 1791, le 11e sur 12, à l’Assemblée législative, où il participe avec Condorcet au Comité d'instruction publique, et le 6 septembre 1792, le 4e sur 12, à la Convention nationale, où il siège sur les bancs de la Montagne, par le département du Puy-de-Dôme.

À la Convention

Après la journée du 10 août 1792, la chute de la monarchie rendait caduque la constitution de 1791, ce qui entraîne la convocation de la Convention nationale. L'une de ses premières tâches est de faire le procès du roi ; le conventionnel Romme vote la mort de Louis XVI (janvier 1793). Il fait partie du Comité d'instruction publique où il joue un rôle important. Il est notamment chargé de concevoir le calendrier révolutionnaire ; il présente, le 17 septembre 1793, son rapport au Comité d'instruction publique, qui l'accepte, sans pouvoir s'accorder sur la nomenclature. La Convention l'adopte le 5 octobre 1793 ; le 3 brumaire an II), elle adopte la nomenclature des noms de mois proposée par Fabre d'Églantine. Il intervint aussi dans les débats constitutionnels en présentant avec ses collègues Thibaudeau et Merlino un plan de gouvernement intérimaire en floréal an III1.

Représentant en mission

La Convention nationale envoie nombre de ses membres, munis de larges pouvoirs, auprès des armées et dans les départements. Romme est missionné au moins deux fois (Cf. M. Biard, Missionnaires de la République).

Il est donc absent de Paris au moment du 9 Thermidor.

De la Crête aux journées de Prairial

À son retour sur les bancs de la Convention, Romme s'associe au groupe d'une trentaine de députés qui conteste la politique des thermidoriens et entendent poursuivre l'œuvre de la Montagne, groupe qu'on surnomme les « crêtois ».

Le 1er prairial an III, l'émeute populaire envahit la Convention. Dans la cohue, un conventionnel, Féraud, est assassiné, sa tête promenée au bout d'une pique. La séance est suspendue mais reprend dans la soirée : les représentants « crêtois », dont Romme, font voter une série de lois favorables aux émeutiers. On pense aujourd'hui que cette reprise de séance était une manœuvre pour compromettre les derniers Montagnards - à la fin de la séance, quatorze députés sont placés en état d'arrestation. Onze d'entre eux sont déférés devant une commission militaire, dont six (Bourbotte, Duquesnoy, Duroy, Goujon, Romme et Soubrany) sont condamnés à mort le 29 prairial an III après avoir été un moment emprisonnés au château du Taureau en baie de Morlaix. Ils tentent de se suicider à l'audience ; trois d'entre eux, parmi lesquels Gilbert Romme, y parviennent. Alors qu'ils descendent l'escalier pour monter dans la charrette, Goujon sort un couteau caché, se frappe au cœur, et le passe à Romme. « Je meurs pour la République » sont ses derniers mots. On les surnommera par la suite les « martyrs de Prairial. »

Notes et références

  1. BN Le 38-1369
  2. Jean-Yves Marin et Jean-Marie Levesque (dir.), Mémoires du Château de Caen, Milan, Skira ; Caen, Musée de Normandie, 2000, p. 159

Œuvres

  • Gilbert Romme, Correspondance, 2 tomes, Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise Pascal Clermont-Ferrand II, 2006 (ISBN 2-84516-309-6)

Source partielle

Bibliographie

 

 

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